Recueil de nouvelles loufoques, le Foyer Sainte-Lucie fut pour moi un grand coup de coeur à la fois de titre et de couverture. Mettant en scène la plupart du temps des enfants, ces petites histoires nous transportent dans des univers assez cocasses, souvent même extraordinaires.
“My mom says I’m destined to be the sort of man who uses big words but pronounces them incorrectly.”
J’avoue ne pas être sûre d’avoir trouvé des sens cachés à ces histoires, si ce n’est peut-être celui annoncé sur la quatrième de couverture. Toutes ces nouvelles tentent de montrer des passages à l’âge adulte, des enfants qui grandissent bien malgré eux et doivent s’adapter à un monde qui ne leur convient pas.
J’ai pris mon temps pour savourer chacune de ces petites histoires, et bien qu’elles ne m’aient pas toutes transportées, la qualité d’écriture et d’imagination est indéniable.
“Raffy has this magical, abracadabrical ability to transform all his « ifs » into « whens ».”
Karen Russell a décroché le Prix Pullitzer avec son précédent roman, qui semble mettre en scène des lieux et personnages proches de ceux rencontrés dans le Foyer Sainte-Lucie. Et même si ce recueil ne m’a pas entièrement convaincue, Swamplandia s’ajoute à ma wish-list pour découvrir plus avant cette écriture originale.
Sixième goal marqué dans le cadre de mon défi Euro 2016 des livres. (en prolongations)
Tu enchaînes les lectures pour le challenge !
Ce livre a l’air sympa, je note. Merci pour la découverte 🙂
Je me donne l’été pour vider un max ma PAL papier. Et j’espère sincèrement tenir le rythme pour m’en acheter plein de nouveaux pour l’hiver 😀
Je te souhaite bon courage =)
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