Premier livre lu de 2017, il s’agit de ma première lecture pour le Prix des Lecteurs Club, qui a sélectionné six auteurs belges et m’a envoyé les six romans sur une liseuse avec pour mission de finir cela pour la fin du mois de janvier. Je m’y attèle donc, et vous propose mon premier avis.
Roman relativement court, Là où ça fait mal m’a intriguée tout au long de l’histoire, sans pour autant m’intéresser plus que ça – mais le résultat était là : je suis restée captivée. Comment, me direz-vous ? Si chaque chapitre (dix, comme les doigts de la main) a sa propre chute un peu absurde – toujours la même, on se demande comment l’auteur va bien pouvoir conclure cette historie totalement fantaisiste.
Attendez voir, je vous laisse le résumé de l’éditeur :
C’est l’histoire d’un type qui fait une série de rêves, tous plus bizarres les uns que les autres, au cours desquels il perd chaque fois un doigt. Et à la fin, comme dans toute bonne histoire, il y a une mauvaise chute. Entre mécanique absurde poussée à l’extrême et récit fantastique, Edgar Kosma nous revient avec un roman plein d’humour illustré avec talent par Romain Renard.
Oui, à chaque chapitre, le personnage principal perd un doigt. Et oui, il le fait de manière totalement abracadabrantesque, et très certainement peu crédible. Mais comment se finit une telle histoire ? Pas très bien, il faut l’avouer – mais avec une fin qui appelle des tas d’éléments éparpillés dans le livre, juste comme il faut.
Si l’histoire n’est pas passionnante sur le fond, elle est captivante sur la forme et sur les rebondissements absurdes qu’elle propose, et l’écriture est très bonne.
S’il y a une chose que ce roman me confirme, c’est que dans mon plat pays adoré, on est très bien fournis en auteurs loufoques. Et ça me plait !
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